• Acquérir des connaissances de la sécurité alimentaire et de l’hygiène, y compris la capacité de reconnaître les allergies alimentaires et d’éliminer les dangers potentiels
• Préparer divers aliments y compris les poissons et fruits de mer, galantines, pâtes en croûte, volailles et viandes
• Utiliser la hauteur, la couleur, le contraste, et le goût pour concevoir des présentations intéressantes pour les entrées, les mets principaux et les desserts
• Suivre une recette ou les consignes d’un pâtissier/d’une pâtissière pour produire des garnitures au chocolat ou en sucre pour agrémenter les desserts
• Acheter les ingrédients d’une recette, produire chaque jour/chaque semaine un bon de commande d’aliments et recevoir les produits pour en assurer la fraîcheur et la qualité
• Développer et gérer le menu en produisant des recettes standardisées pour chaque article, effectuer une analyse de rendement sur les produits crus et cuits
• Définir des normes de vérification de l’inventaire en cuisine, y compris les denrées périssables et les aliments secs, et assurer la rotation
• Faire la cuisson avec du vin, des liqueurs et des spiritueux et connaître suffisamment les vins pour les suggérer en accompagnement, entreposer le vin, les liqueurs et les spiritueux
• Embaucher, superviser et former le personnel de la cuisine

• Un(e) apprenti(e)s doit être cuisinier/cuisinière certifié(e) Sceau Rouge et avoir un an d’expérience de travail dans un domaine connexe
• Bien que ce ne soit pas obligatoire, un stage d’apprentissage de 2 620 heures, incluant une formation en cours d’emploi et en classe, est recommandé
• Programme Majeure Haute Spécialisation en hôtellerie et tourisme est recommandé pour les étudiants du secondaire

• Peut devoir travailler de longues heures, sur quarts de travail; le travail en soirée, les fins de semaine et durant les jours fériés est fréquent
• Exposition fréquente aux couteaux tranchants, aux appareils chauds et à l’équipement dangereux; la sécurité est primordiale
• On s’attend à ce que le taux d’emploi augmente, puisqu’il y a une demande pour les chefs hautement qualifiés
• Parmi les employeurs, notons : restaurants, hôtels, traiteurs, clubs, centres de santé et services sociaux, installations récréatives ou centres de villégiatures, stations thermales, bistros, clubs sportifs privés et établissements pour retraités

La rémunération de l’apprenti(e) augmente selon ses habiletés et son expérience. Un/une chef pleinement qualifié(e) gagne jusqu’à 15 $ l’heure. Les grands chefs peuvent négocier un salaire de 70 000 $ à 100 000 $ par année.